29 octobre 2006

A Weana Hochzeit

Hier, j'étais presque à Vienne pour quelques heures. J'ai partagé avec mon amie Charlotte, ma coloc de l'époque bénie d'Erasmus, un grand moment : son mariage avec le Viennois ramené dans ses bagages en sus de son mémoire d'histoire sur les Habsbourg.

Les mariages d'amis, c'est toujours un moment inoubliable. Mais là, encore plus, étant donné que j'ai activement assisté aux prémices de leur relation, de coaching en débriefing, de rendez-vous en rapprochements. On en passé des soirées toutes les deux dans notre salon seventies à peser le pour et le contre, à décortiquer le moindre mot. L'allemand aussi à ses nuances, et je pense pouvoir raisonnablement pouvoir situer le tournant de leur histoire à notre discussion sur la signification de "Bussi" et "Busserl" qui veut dire "petit bisous" en autrichien. Je maintenais que c'était un signe positif, elle pensait que ce n'était qu'une "bise" neutre. Comme quoi, des destins individuels ne tiennent pas à grand chose...

La mariée était bien évidemment magnifique, les copines étaient glamour, le marié respirait le bonheur, les témoins ont assuré, les parents étaient fiers. Pour moi, ça a surtout été l'occasion de retrouvailles émues, façon réunion d'anciens combattants, et de me replonger dans l'ambiance de mon année à l'étranger. A cheval entre l'Autriche et la France, la soirée a vu se succéder les valses viennoises, qui ont confirmé que les locaux dansent nettement mieux que les Français, les rocks consensuels, du 100% Falco (Vienna Calling... OHEHO oh Vienna Calling), etc. Un vrai pot pourri.

Quelques courbatures en plus et quelques centimètres de pied en moins, je me dis que l'Union européenne a du bon quand même. Et qu'avoir des amis comme ça, c'est drôlement chouette.

free music


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27 octobre 2006

Brassens à la vie à la mort

Vous voulez savoir ce que je pense de Brassens ? Et ben c'est !

26 octobre 2006

Juste une mise au point

Comme les sociologues commençaient à sentir leurs volumes de vente sur les bouquins portant sur les métrosexuels baisser, ils se sont dit qu'il fallait réagir, d'autant plus que Noël approchant, leur porte-monnaie devait être réapprovisionné avant que la liste de leur progéniture n'arrive chez leur banquier. Du coup, ils nous ont pondu l'übersexuel.

Mon idée n'est pas du tout de critiquer (ou pas) cette théorie ce soir. Pour ce que j'en sais, chacun fait ce qu'il veut, tant qu'il laisse les autres tranquilles. En revanche, j'aimerais beaucoup qu'on m'explique le pourquoi du comment de la choucroute : pourquoi a-t-on d'un seul coup un terme germanique pour parler de ce phénomène de société tellement idnéniable que je ne sais pas exactement ce que c'est censé vouloir dire concrètement.

Bien évidemment, je ne suis pas contre les termes allemands. Mais celui me fait hurler de rire à chaque fois qu'il est utilisé par un journaliste. Ca permet tout de suite de faire des petites catégories comme je les aime (je sais, c'est mal de mettre les gens dans des cases mais moi, j'aime bien) :

- les béats inconscients pour commencer. Alors eux, ça s'appellerait des oversexuals, des sopra-sessuale, des over-seksueel, ou même, soyons fous, des sursexuels, ils ne se rendraient compte de rien. Un mot, c'est un mot, et basta. Ne cherchant pas à savoir d'où il sort, ils ne connaissent ni son origine ni sa signification originelle. Ca évite de se poser trop de questions, après avoir maudit l'erreur d'impression qui leur a mis deux petits points bizarres et sans intérêt au-dessus du u. Enfin du ü. Enfin on se comprend quoi. Pour eux, aucune typologie de prononciation n'est possible, c'est du grand n'importe quoi.

- les "je crois que je sais parler allemand et je veux me la péter mais en fait non". Ces journalistes croient pouvoir prononcer ce mot correctement mais ont oublié la moitié de leur allemand appris sur les bords du Neckar avec une écolo baba cool qui buvait du thé au fenouil dans les années 80. Ceux-là se rappellent bien qu'il y a un truc bizarre avec le u en allemand. Ah oui, c'est vrai faut dire "ou" et pas "u". Du coup, ils tentent le "oubeurzeksuel". La motivation y est, il y a même le "s" qui se transforme en "z". Et le "ber" en "beur". Mais ce n'est pas encore ça.

- les journalistes conscients de leurs faiblesses et consciencieux. Sachant comme Socrate qu'ils ne savaient rien, ils se sont renseignés. Et ont capté que le "ü" se dit "u", tout bêtement. En revanche, pour le reste, on repassera. Ce qui donne au final "Hubert-sexuel". Et pour connaître un certain nombre d'Hubert (surreprésentation numérique sur les bancs de Boutmy... Une véritable anomalie statistique), je vous assure qu'ils n'ont rien de sexuel, ni d'übersexuel d'ailleurs.

Je sais, je suis perfide, et la critique est facile. Alors pour qu'elle soit un peu constructive, petite leçon de prononciation. Übersexuel, ça se dit "u" comme "hululer", "beur" comme "beurre demi-sel", "zexe" comme "sexe avec un z au début", "ou" comme "oublier" et "el" comme "aileron". Ce qui donne donc u-beurre-zexe-ou-aile. Merci pour lui.

23 octobre 2006

Gegen die Wand

N'oubliez pas d'allumer vos petites télés ce soir sur Arte pour regarder ça :



et préparez-vous à recevoir une bonne claque dans la figure. Mais parfois, ça fait du bien !

Ségolène Ségolène Ségolène !

Bon, il fallait bien que je me mette à en parler à un moment ou à un autre. Alors voilà, ça y est, j'inaugure : Ségolène met les pieds dans mon blog. Oh, je ne vais pas dire grand-chose sur le sujet, étant difficilement en mesure d'apporter une quelconque pierre à l'édifice, en dehors de 2 éléments qui m'ont marquée ces derniers jours.

D'abord, il y a cette histoire du Rainbow Warrior. Marrant comme on ressort les vieilles chaussettes sales pour les laver au moment où tout le monde avait oublié qu'elles existaient. Jusqu'à il y a peu, on avait trop la flemme pour mettre une lessive en route, mais là, maintenant tout a changé, on a envie de grand ménage de printemps.

Encore plus marrant, ça alors quel hasard, TF1 diffuse ce soir un téléfilm sur le sujet. C'est dingue les coïncidences non ? Attention, je ne dis pas que TF1 a choisi de sortir ce téléfilm maintenant pour nuire à Ségo. En revanche, sans vouloir être une maniaque du complot, je me demande si cette histoire aurait tant intéressé il y a quelques semaines, avant que des citoyens bien intentionnés n'aient décidé de faire toute la lumière sur la participation du frérot dans l'opération... Moi j'dis ça, j'dis rien...

L'autre réflexion, c'est à propos de son idée (de Ségo, j'veux dire) de jurys citoyens pour juger l'action des élus. Mais ce qu'il faut lui dire, à Ségo, c'est que ça existe déjà, et que ça s'appelle le VOTE !! Et oui, le principe de la démocratie, c'est de toucher en botte les sales pourris et les incompétents. Ségo n'a rien inventé. Et j'aimerais bien savoir quelle légitimité représentative auraient ces quelques citoyens placés au-dessus des autres pour pouvoir juger à ma place d'électrice les dirigeants politiques. Donc je reste persuadée que le vote est le meilleur des tribunaux citoyens pour juger les hommes politiques. Après, que les citoyens ne le fassent pas correctement est une autre histoire.

En effet, j'ai toujours été sidérée de voir que les Français crient si facilement au scandale ("Tous pourris" étant à peu près la seule position politique partagée de tous bords. Cf l'article 60% des Français jugent les élus corrompus) tout en votant tranquillement le lendemain pour ces mêmes élus. Qui a permis à Balkany de revenir à la tête de la mairie de Levallois dès le premier tour après avoir été condamné à plusieurs reprises ? Qui a permis à Jacques Chirac de passer à travers les mailles du filet judiciaire dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris en l'élisant "aux plus hautes fonctions de l'Etat" ? Ben c'est nous, tout benêts qu'on est (quand je dis, ça ne veut pas dire vouzémoi hein, je précise). Je vais arrêter là avec mes exemples qui n'apportent pas grand chose. Mais une chose est sûre : on a les dirigeants qu'on mérite.

20 octobre 2006

J'ai envie de...

J'ai envie de tout et son contraire en ce moment.

J'ai envie de brioche grillée au nutella et de crêpes Suzette (merci Charles !!!), mais aussi d'ascèse et de légèreté. J'ai envie de séances acharnées de travail et de puissance intellectuelle décuplée, mais aussi de lecture de Biba et de matage de DVD débiles au lit. J'ai envie de solitude et de société. J'ai envie de boums déjantées et de dîners pépères. J'ai envie de minijupes et de burka (enfin non, quand même pas, mais presque).

En fait, j'ai surtout envie de fermer ce blog. A vrai dire, pas réellement le fermer, mais le protéger, le mettre sous cloche. Sans vouloir jouer à la nouvelle star des blogs (d'autres s'en chargent pour moi ;-) !! ), mon post-it express me prouve tous les jours que de plus en plus de parfaits inconnus tombent ici plus ou moins par hasard et je me sens de moins en moins libre d'écrire ce que je veux. Si vous en faites partie, ne le prenez pas mal, mais j'ai du mal à raconter la même chose à mes amis et à tout le monde.

Ce n'est pas la mauvaise influence de Vinvin, mais je me demande moi aussi ce que signifie ce blog aujourd'hui à mes yeux. J'ai commencé à y écrire un peu parce que les copains le faisait depuis longtemps, un peu pour donner de mes nouvelles depuis la Teutonie et un peu sans savoir pourquoi. Ma poignée d'amis qui connaissaient l'adresse me lisaient de temps en temps, et ça me suffisait largement. Par un phénomène surnaturel mais très normal sur internet, certains, sont tombés par hasard et sont visiblement restés, laissant même parfois des commentaires, parfois même pour le meilleur.

D'abord un peu grisée par ce succès ("WOW, 616 personnes ayant visité mon profil !!" "WOW, plus de 80 visiteurs aujourd'hui" - je sais, certains vont rire de ces scores ridiculement bas, mais bon, nous n'avons pas les mêmes valeurs...), je me sens désormais de plus en plus contrainte par ces visiteurs anonymes. Quand je découvre que des lecteurs zanonymes me côtoient parfois tous les jours sur les bancs de mon école (non M le Maudit, ne te sens pas visé), sans que je les connaisse pour autant, je me sens d'un seul coup toute nue. Et si j'aimais vraiment le naturisme, je changerais tout simplement de plage à Oléron plutôt que de blogger.

Donc j'ai voulu mettre un mot de passe, mais Blogger ne permet pas de le faire. De ce fait, je vais sans doute changer d'adresse de blog, chercher un hébergeur qui me permette de mettre un mot de passe. Pour avoir tout ça, il faudra m'écrire. Si vous n'avez pas l'adresse mail, c'est ballot, mais ça veut dire que vous ne pourrez pas lire mon prochain blog.

Comme le disent les Télétubbies depuis si longtemps : "il est temps de se dire au revoiiiiiir"...

Aime-toi toi même et Dove t'aimera

Dans la lignée de ce que fait The Bodyshop depuis des années et Dove depuis quelques mois, une petite vidéo qui ne fait de mal à personne (merci Fab !) :


Finalement, ptête bien que je pourrais être mannequin avec tout ça. Mouarf mouarf mouarf...

16 octobre 2006

Mauviette ?

Je n'y suis pas allée à ce p*** de concours à une place. Après longues hésitations, j'ai considéré que l'investissement en temps et en énergie était trop important pour un résultat plus qu'incertain. Enfin plutôt certain d'ailleurs. Le seul et unique poste offert ne m'aurait pas fait peur si je m'étais sentie prête, ce qui n'était absolument pas le cas. Du coup, aller plancher 5 heures par jour pendant 7 jours en enfilade en ayant peur de la copie blanche chaque matin m'emballait peu.

Je n'arrive toujours pas à savoir si j'ai été lâche et paresseuse ou si j'ai été raisonnable à ne pas courir plusieurs lièvres à la fois. Mon seul regret après avoir pris cette décision est d'avoir sacrifié à un concours que je ne passerai jamais une virée shopping avec Cornélia. J'espère que tu ne m'en voudras pas (trop).

Du coup, j'ai repris le chemin des cours ce matin avec mon premier corso d'italien depuis plus de 3 ans... La reprise a été un peu rude mais tout passe tellement mieux avec un vrai Romain qui a l'air de parler italien même quand il parle français. Très indulgent avec moi, il m'a assuré pouvoir me remettre à niveau avec un peu (voire plus) de travail de mon côté. Je me sens rouillée mais motivée. On verra ce que ça donnera dans 6 mois.

11 octobre 2006

Blague dans le sac

J'ai un ami que j'apprécie beaucoup. Je sais que l'apprécie vraiment beaucoup parce que j'accepte même ses défauts. L'un de ses plus gros défauts, c'est d'affectionner les expressions ringardes telles que "blague dans le sac" qu'il sort à la place de "sans rire" ou "plaisanterie à part" avec le plus grand sérieux du premier degré. Au final, c'est ce qui fait aussi son charme.

Si je vous parle des blagues dans le sac ce soir, c'est parce que j'ai aujourd'hui fait un petit stock de blagues grâce à mon tout nouveau tout pas beau prof d'économie. Du coup, ce sont des blagues d'énarques. Mais enfin, ça vous fera quand même certainement rire, puisque c'est de la blague d'énarque fanatique d'autodérision.

1. L'histoire de l'énarque et du train
La seule différence entre un train et un énarque, c'est que le train, quand il déraille, il s'arrête/

2. Le lapin et le serpent
Il était une fois un petit lapin qui jouait à colin-maillard avec un serpent. Le serpent met le foulard en premier sur ses petits yeux de serpent. Avec ses petites mains de serpent, il tâte le lapin et dit "oh, tu es tout mou, tout chaud, et tu as une petite queue, tu es un lapin !". Le lapin prend son tour de foulard, il trouve le serpent et le tripote "oh, tu es dur, froid et tu n'as pas de queue, tu es un énarque !".

3. Zut, il en a sorti plein d'autres, mais je ne me rappelle pas de tout... Mais je suis sure qu'il en aura des comme ça pendant les 10 mois à venir.

En revanche, il nous a par avance excusées (je mets "ées" à la fin parce qu'il ne s'adressait qu'aux filles) de nos éventuelles absences "en cas de rendez-vous chez le coiffeur ou la manucure". Les mecs, eux, ont le droit de rater son cours pour un rencard.

Qu'est-ce qu'on se marre en prepena...

10 octobre 2006

Anecdote à valeur générale ?

Comme dans tous transports en commun de France, de Navarre et du monde entier, la RATP réserve dans ses bus quelques places "prioritaires" à des gens qui étaient auparavant peu identifiés. Ils étaient également peu identifiables. Tant et si bien que je ne savais jamais si je devais vraiment céder ma place assise à cette dame grisonnante ou non depuis que je me suis faite insulter par une dame que je jugeais suffisamment âgée pour qu'elle ait le droit de s'asseoir et qui se jugeait trop jeune pour avoir cette faveur. En somme, ces places prioritaires étaient pour moi de vraies tortures sources d'incidents diplomatiques en puissance.

Désormais, la liste de la RATP est nettement plus claire, affichée au-dessus des places en question, avec une hiérarchie stricte entre les différentes catégories de prioritaires. Debour à ne rien faire (plein de jeunes seniors dynamiques profitaient de leur droit à l'assis-attitude), j'ai donc découvert avec intérêt la hiérarchie établie par la régie des transports parisiens.

En première place, les invalides et mutilés de guerre. En même temps, ils ne sont pas nombreux, mais de là à les mettre en première place... Les femmes enceintes arrivent en 6ème position. Innocemment, j'ai pensé tout bas qu'on en était donc là : on pense d'abord à ceux qui ont défendu la patrie - riche et noble cause si l'en est - par le passé avant de penser à celles qui assurent la nation de demain.

Bon, très honnêtement, je ne sais pas ce que ça fait d'être enceinte. Je n'en ai pas la moindre idée. Mais mon bon sens me fait dire qu'avec ça, on a bien mérité une petite place assise dans le bus. Parce que quand même, être enceinte, ça revient - au bout de quelques mois - à se trimballer perpétuellement avec 3 bouteilles de lait dans le ventre. Mine de rien, ça pèse ces petites bêtes-là.

Et avec tout ça, un mec peut se pointer avec un bout de doigt en moins et, sous prétexte qu'il l'a perdu à Verdun, à Constantine ou à Lang Son, revendiquer la place de cette dame :


Ceci n'est pas une vraie femme. Ceci est une sculpture. C'est de l'art. C'est Ron Mueck qui l'a fait et sa maman doit être très fière de lui aujourd'hui. Alors on l'applaudit bien fort.

Alors je ne sais pas, peut-être que je fais du jeunisme anti-vieux, peut-être que je fais du pacifisme anti-militaire, peut-être que je fais du féminisme radical. Ou peut-être que cette petite anecdote ratpienne montre que le principal problème de la France est dans la définition et la hiérarchisation de ses priorités.

08 octobre 2006

Bordel de cul

J'avais déjà parlé des hasards, de ceux auxquels on ne prête aucune intention, de ceux qu'on provoque, de ceux qu'on surinterprète.

Mais il y a aussi les hasards dont on se passerait bien, notamment ceux du dimanche matin, au Franprix du coin. Un enchaînement de circonstances qui vous amène à rencontrer un copain de conf COMME PAR HASARD au rayon le plus sensible du magasin. L'innocent se contente de saisir un paquet de mouchoirs tandis que ma main est sur l'étalage du dessus en train d'attraper un paquet de...


Il aurait pu faire semblant de ne pas me voir, me dire bonjour au rayon suivant, celui des yaourts par exemple. Mais non, il a fallu qu'il veuille me dire bonjour à CE moment-là. Pire, il a voulu entamer une discussion sympathique et polie. La politesse le dimanche matin avec un paquet rose de Nana dans les mains, ça relève plus du supplice que de la communication entre êtres humains.

Pour ne pas en rester là, il a voulu me présenter sa copine. Nous étions repartis pour une séance supplémentaire, j'avais tiré la queue du Mickey du small talk.

Si j'avais fait des catégories pour mon blog (ce que je ne sais lamentablement pas faire), j'aurais classé ce post dans la catégorie "hasards injustes et humiliants". Ou peut-être que je fais tout un plat de pas grand-chose...

EDIT : ça y est, j'ai créé des catégories. Mais créer une catégorie juste pour un poste, c'est naze. J'attends le prochain "hasard injuste et humiliant".

03 octobre 2006

Centrifugeuse à idées

Il y a des gens qui tombent par hasard sur mon blog en tapant dans Google "équitation + fantasme", "besace militaire", "blog pied fétichisme en sandale", "anatomie" ou encore "problématique de l'uniforme". C'est vraiment très instructif ce post-it express (oui, c'est grâce à lui que je sais ça).

Je crois que je vais me mettre un nouveau défi : caser les mots les plus impossibles histoire de voir comment j'égare les gens à la recherche de choses étranges sur le web... "piqûre de vipère dans l'oreille", "perle de chat", "chocolat vert", femme castrat", "fétichisme de l'éponge à vaisselle", "tong pour yorkshire", "église de la sainte et pure prostituée". Vous avez des idées ?