08 octobre 2006

Bordel de cul

J'avais déjà parlé des hasards, de ceux auxquels on ne prête aucune intention, de ceux qu'on provoque, de ceux qu'on surinterprète.

Mais il y a aussi les hasards dont on se passerait bien, notamment ceux du dimanche matin, au Franprix du coin. Un enchaînement de circonstances qui vous amène à rencontrer un copain de conf COMME PAR HASARD au rayon le plus sensible du magasin. L'innocent se contente de saisir un paquet de mouchoirs tandis que ma main est sur l'étalage du dessus en train d'attraper un paquet de...


Il aurait pu faire semblant de ne pas me voir, me dire bonjour au rayon suivant, celui des yaourts par exemple. Mais non, il a fallu qu'il veuille me dire bonjour à CE moment-là. Pire, il a voulu entamer une discussion sympathique et polie. La politesse le dimanche matin avec un paquet rose de Nana dans les mains, ça relève plus du supplice que de la communication entre êtres humains.

Pour ne pas en rester là, il a voulu me présenter sa copine. Nous étions repartis pour une séance supplémentaire, j'avais tiré la queue du Mickey du small talk.

Si j'avais fait des catégories pour mon blog (ce que je ne sais lamentablement pas faire), j'aurais classé ce post dans la catégorie "hasards injustes et humiliants". Ou peut-être que je fais tout un plat de pas grand-chose...

EDIT : ça y est, j'ai créé des catégories. Mais créer une catégorie juste pour un poste, c'est naze. J'attends le prochain "hasard injuste et humiliant".

1 commentaire:

Geoffroy et Myriam a dit…

chouchoune,
y'a qu'à toi que ça arrive ce genre de trucs :)