25 mai 2006

Oh les CONS !!!

Petit moment d'indignation face à mon écran d'ordinateur : ma petite icône Mail se met à sauter, chouette, un nouveau mail. Bon, rien de bien excitant, ma facteur de portable Bouygues est consultable en ligne. Je regarde d'un oeil aussi distrait que déçu. Sauf qu'un chiffre me saute aux yeux : le montant de ma facture dépasse de 10 €... Pourtant, je n'ai pas appelé au Zimbabwe avec mon portable, j'en suis certaine. Du coup, je vais voir ce qui se passe, "il y a sûrement une erreur", j'en suis certaine.

Et là, j'ai la très désagréable sensation de m'être fait couillonner. Arrivée à la fin de mes deux services de bienvenue offerts, j'ai résilié le forfait 50 sms (de toutes façons, j'ai les sms gratuits le soir, alors bon...) et le forfait multimédia (en deux mois, je n'ai pas réussi à l'utiliser, je ne sais même pas à quoi ça sert en vrai, autant dire que c'était plus qu'inutile). J'avais droit à ces merveilleux services jusqu'au 14 mai. Donc le 14 mai, je me suis connectée à ma page client blablablala de Bouygues et j'ai résilié ces offres. Parfait.

Bah non !!! Ma demande de résiliation n'étant prise en compte qu'à partir du 20 mai (on peut savoir pourquoi ils ont besoin de 6 jours pour faire transiter une information dans leurs trucs informatiques ????), je paie ces deux services pour toute ma facture du mois de mai. C'est limite de la vente forcée je trouve. Parce que je ne vois pas comment j'aurais pu savoir à l'avance que 6 jours serait nécessaire à la prise en compte de ma demande de résiliation. Et 10€ de plus dans le panier, c'est quand même un peu abusé, surtout pour des services que je n'utilise pas. Bref : je suis PAS CONTENTE !!!! Peut-être même que je vais leur écrire un petit mail. Ils l'auront peut-être d'ici 15 jours, vu la rapidité de transmission interne des informations...



[Avec 10€, j'aurais pu m'acheter 7 boîtes de petits sablés de Michel et Augustin. Les cons les cons les cons.]

1 commentaire:

Geoffroy et Myriam a dit…

malgré la conjonctivite, c'est avec un énoooooorme plaisir que j'ai pu me rejeter dans la lecture de ton blog (et même que moi j'ai pu déchiffre ce que c'était SEMA (non dans ce cas là on peut pas parler de qui c'était, mais bien de quoi c'était) ... et toc !)
Sophie, j'adooooore tes petits soucis quand ils sont racontés avec ta prose idyllique ...
Bisous