09 juin 2007

Demain...

Demain, je vais enfin pouvoir mettre la robe dont j'ai cousu le col hier. Je dis "enfin", mais heureusement en fait que ce n'est que demain, parce que sinon, j'y aurais été avec un col volant.

Demain, je vais danser le madison. Pied droit pied gauche, pied droit, lancé jambé gauche, clap dans les mains. Pied gauche, pied droit, pied gauche, lancé jambe gauche, clap dans les mains, pied droit en arrière, pied gauche en arrière, pied droit en arrière, talon gauche, pointe gauche, talon droit, pointe droite, saut quart de tour et on recommence. Simple non ?

Demain, je vais mettre mes nouvelles chaussures qui me font atrocement mal aux pieds alors que bon, je pensais quand même être tranquille avec des ballerines. Beh non, moi je suis le genre de fille à n'être à l'aise que sur des talons aiguilles...

Demain, je me lève beaucoup trop tôt pour un samedi matin, mais ça vaut le coup.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Chers pieds de Coco, je suis avec vous! Je vous recommande un bain tiède à rafraichir progressivement, d'une demie heure environ. Ensuite un petit massage avec crème au camphre sauf si plaie, auquel cas, je vous plains encore plus.
Je ne vous embrasse pas mais la pensée y est!

PS Ne vous en faites pas, quand elle sera vieille et grosse, elle sera au petits soins pour vous!
;-)

Anonyme a dit…

BAh
si le col est monté

Anonyme a dit…

Une robe, des talons.
Même si la douleur est présente, peu importe, l'essentiel est de s'amuser.
Et toutes les femmes sont passées par là !

J'espère que c'était sympa.

St*

Mademoiselle Coco a dit…

Ardalia > merci de tes conseils. Peut-être que quand j'aurais mangé tellement de macarons que ma graisse aura été jusque dans mes pieds, j'aurais plus d'amortisseurs... Mais là, le camphre, ce n'était pas possible. J'ai lourdement pansementé et pensé à autre chose.

xioix > que dire de plus ?

Stella > non, même pas de talons ma pauvre. Ce sont de malheureuses ballerines qui m'ont torturée. La vie est vraiment injuste ! Mais oui, c'était très sympa :-) Et c'est le principal.