19 avril 2007

C'est décidé, je n'irai pas à Pop-Stars. J'ai rempli ma lettre de non-acceptation, elle est dans mon sac, je n'ai plus qu'à penser à l'envoyer, pour faire le bonheur du premier sur liste complémentaire.

Je vois que vous êtes globalement d'accord avec moi, puisque vous n'avez été que 3 à m'encourager à prendre cette voie-là. En même temps, je remarque aussi que vous n'en avez rien à foutre de mon bonheur, puisque vous pensez majoritairement que je devrais devenir boulangère (mais Fab a peut-être voté plusieurs fois, j'aurais mieux fait de mettre charcutière...) et pas aller à la Starak. Mais la Starak, c'est mon rêve mes petits biquets. Et vous n'en avez rien à faire de mes rêves... Je suis très déçue...

Tout ça, c'est juste parce que vous voulez que je vous apporte les croissants le matin. Ou des sucettes au cola (les bleus de Pierrot). Mais ça ne marche pas comme ça la vie. Vous n'allez pas réussir à me faire plier. Non, je ne deviendrai pas esclave de ce sondage (on dirait du Pascal Obispo voire du Florent Pagny voire du Francis Lalanne, j'adore).

Bon, ça fait quand même bizarre de dire non à Pop-Stars. J'ai hésité à les appeler, pour voir s'ils n'étaient pas prêts à tout pour me garder, négocier encore un peu. Mais non, c'est non. Il y a des règles, il faut les respecter. Et puisqu'elles ne me conviennent pas, je renonce. N'est pas Don Quichotte qui veut.

Rendez-vous dans quelques mois pour savoir si ce choix aura été payant...

3 commentaires:

Unknown a dit…

Sans faire appel à la majorité silencieuse contre la majorité réelle, d'un goût douteux en cette période, je persiste à penser que la pop-star aurait pu être un bon tremplin. Mon expérience étant d'ailleurs que le succès final s'attache moins au nom de l'émission qu'au mérite intrinsèque du candidat.

Mademoiselle Coco a dit…

Je n'en doute pas M, le problème étant seulement que, si dans le milieu de la musique, les frontières sont relativement poreuses, ce n'est pas le cas dans la fonction publique. Et que mérite intrinsèque ou non, il m'aurait fallu attendre au bas mot 20 ans de carrière avant d'avoir une chance de faire les mêmes trucs qu'après avoir fait la Starak. Et 20 ans, c'est long !

Anonyme a dit…

alors tu as pris la bonne décision.
boulangère, je crois qu'il faut se lever 'achement tôt le matin....
clara.be