11 juin 2006

Un monument de la chanson française d'époque pour Myriam

Pour que tu aies une chanson à écouter en boucle quand les brumes teutonnes auront raison de ton joli sourire... Avec celle-ci, tu ne devrais pas pouvoir réprimer un sourire irrépressible à chaque écoute. Myriam, ENJOY !

Lui : Tu t'en vas
Elle: Mais non mon cœur ce n'est rien
Que quelques semaines à s'attendre
Lui : Tu t'en vas
Elle: Mes joies mes rêves sont pour toi
Impossible de t'y méprendre
Lui: Tu t'en vas
Elle : Et notre amour nous appartient
Nul ne saurait nous le reprendre
Lui : Tu t'en vas
Elle : L'éloignement aide parfois
A mieux s'aimer mieux se comprendre
Lui : Tu t'en vas
Comme un soleil qui disparaît
Comme un été comme un dimanche
Eux: J'ai peur de l'hiver et du froid
J'ai peur du vide de l'absence
Lui : Tu t'en vas
Et les oiseaux ne chantent plus
Le monde n'est qu'indifférence
Eux : J'ai peur de toi j'ai peur de moi
J'ai peur que vienne le silence
Lui : Tu t'en vas
Elle : Mais non mon cœur ce n'est rien
Rien qu'un départ sans importance
Lui : Tu t'en vas
Elle : C'est mon cœur, tu le sais bien,
Rien qu'un caprice de l'existence
Lui : Tu t'en vas
Elle : Le temps l'espace ne sont rien
Si tu me gardes ta confiance
Lui : Tu t'en vas
Elle : Chaque matin qui vient tu sais
Pourtant que tout recommence
Lui : Tu t'en vas
Je reste là seul et perdu
Comme aux pires heures de l'enfance
Eux : J'ai peur de l'hiver et du froid
J'ai peur du vide de l'absence
Lui : Tu t'en vas
Soudain pour moi tout s'assombrit
Le monde n'est qu'incohérence
Eux : J'ai peur de toi j'ai peur de moi
J'ai peur que vienne le silence

Ok, je n'écouterai plus jamais Nostalgie. Mais c'est pour ton bien Myriam.

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